Aeshna isoceles (O.F. Müller, 1767)

Ordre : Odonata Famille : Aeshnidae Genre : Aeshna

  • 169
    observations

  • 65
    communes

  • 66
    observateurs

  • Première observation
    1983

  • Dernière observation
    2018
Aubin Guillaume - Baldi Philippe - Barataud Julien - Bastide Luc - Bence Stephane - Bence Stéphane - Bernier Christophe - Bernon Jean-marc - Berthelot Stéphane - Bertrand Justine - Blanchon Yoann - Braud Yoan - Briola Maxime - Broek T - Caucat Julien - Cogard Collectif - Coue Thomas - Courmont Lionel - Dagonet Thomas - Dayde Stéphanie - De Knijf Geert - De_jong Theo - De_visscher Mn - Defontaines Pierre - Delmas David - Dolbeau Xavier - Faton Jean-michel - Fauvet Gerard - Fayot Mathilde - Fernandes Stéphane - Février Jérémie - Gaymard Maxime - Gendre Thomas - Genoud David - Giraud Alain - Givord Bérénice - Grand Daniel - Guenescheau Yvon - Hentz Jean - Hentz Jean-laurent - Houard Xavier - Jaulin Stéphane - Jourdain François - Juliand Christine - Juliand Pierre - Jullian Rémi - Le Pommelet Eve - Lebraut Christian - Martinet Guillaume - Menut Thomas - Monchaux Geoffrey - Monnerat Christian - Morlon Francis - Perrin William - Petitot Maud - Ponthieux Yann - Rancilhac Loïs - Rondeau Alexis - Rufray Xavier - Saintvane Alice - Sardet Eric - Tixier-inrep Danièle - Vanappelghem Cédric - Veyrat Ce - Vollot Benjamin - Vorsselmans Frans

Informations sur l'espèce

Cette espèce présente une couleur générale brun roux, avec de grands yeux globuleux de couleur vert émeraude très frappant à maturité. De plus, la base des ailes postérieures est jaune safran.

Les oeufs éclosent 6 à 7 semaines après la ponte, sans subir de diapause hivernale.

La phase larvaire dure de 1 à 2 ans, voir 3 ans. Les larves vivent entre les racines des roseaux et les hydrophytes submergées proches des rives.

Les mâles matures défendent assidûment un petit territoire de 3 à 10 m², qu'ils sillonnent inlassablement. Ils pourchassent tout éventuel compétiteur et se ruent sur les femelles s'approchant de leur domaine. Après l'accouplement qui débute en vol pour finir maladroitement dans la végétation, la femelle pond seule en insérant ces oeufs dans les tiges des plantes aquatiques, et débris de végétaux. Elle insère ces oeufs dans plusieurs supports, souvent distants de plusieurs mètres chacun.


Cette espèce n'est pas menacé en France. Seule la dégradation de la qualité de l'eau, le curage des étangs et la disparition des roselières peuvent nuire à l'espèce.

Elle fréquente les milieux stagnants à faiblement courants, ceinturés de roselières dites clairiérées, où subsistent des surfaces d'eau libre envahies d'hydrophytes immergés ou flottants.
Non renseignée pour le moment
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Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles